Saveurs Sud Charente : association des producteurs fermiers du Sud Charente

Association Saveurs du Sud CharenteL’association Saveurs Sud Charente lance son site internet

Les 25 membres de l’Association des producteurs du Sud-Charente ont inauguré en fanfare mardi 20 mars 20012 la mise en ligne de leur site internet. L’association est née d’un constat simple : le Sud-Charente est riche de pas moins de 190 producteurs fermiers, 25 d’entre eux (pour le moment) se sont regroupés pour faire valoir leur terroir et leur savoir-faire, en mutualisant leurs moyens pour proposer un outil de communication dans l’air du temps.

Le site présente individuellement chaque producteur avec photos et description de leur activité, mais permet également d’avoir un aperçu des productions de chacun (foie gras, viande, miel, pain, fruits & légumes…) : une « mise en bouche virtuelle » qui permet de rendre à l’agriculture paysanne ses lettres de noblesse.

Pour contacter l’association Saveur Sud Charente

Domaine de Mignaberry 2003 (vin d’Yroulegy)

Domaine de Mignaberry
Domaine de Mignaberry

Issu de la cave coopérative des vins d’Yroulégy, le domaine de Mignaberry est la cuvée la plus représentative de ce vignoble. Le millésime 2003, si particulier en raison des conditions climatiques  (canicule), confère au vin un caractère bien marqué. En effet, le Tannat et le Merlot sont bien présents et exacerbent les arômes des fruits confits, fruits rouges bien mûres, le tout sur une belle puissance en bouche, plutôt agréable, mais différente de ce que produit ce vignoble habituellement.

De toute évidence, ce millésime 2003 marquera par son caractère mais devra être consommé assez rapidement.

Château L’Espérance 2007

Il n’y a d’espérance que dans le nom de ce vin…

N’exagérons rien, derrière ce nom élogieux se cache un vin simple, de plaisir, à sortir pour les occasions de la vie de tous les jours.

Son nez reste un peu marqué par l’alcool, la bouche est un peu franche mais pas désagréable ce qui fait de ce Château L’Espérance, un petit vin du quotidien.

Conseil de dégustation : à boire sur un barbecue entre amis !

Château Chasse-Spleen 2007

« Comment avons-nous pu croire que nous pouvions élever nos désirs à l’infini ? »

Telle est la question posée sur la contre étiquette du château Chasse-Spleen. A la lecture de cette question, le désir de la dégustation ne se fait pas attendre lorsque l’on a une bouteille de Chasse-Spleen sous les yeux… Q’en est-il lorsque l’on passe à l’acte ?

Au nez, de jolies notes de fruits rouges, petites baies, avec une structure légèrement boisée nous rappelle les saveurs classiques du médoc sur les millésimes 2007. En effet, le manque d’ensoleillement rend les arômes de ce vin relativement discrets.

En bouche, la discrétion persiste, le caractère se fait discret, presque impersonnel… Au final, nous en serions presque déçus.

Deux possibilités s’offrent à ce Chasse-Spleen 2007 :

  1. Le laisser vieillir pour voir comment il évolue
  2. Profiter de son fruit sans en attendre une quelconque extase

Que boire avec des truffes ?

Truffes et vins
Quel vin boire avec les truffes ?

Avec quels vins faut-il manger des truffes ?

Le vin ne doit ni détruire, ni remporter le goût, il se veut complémentaire. Il doit s’harmoniser. Dans le domaine de l’art, source d’innovation, les règles ne sont pas intangibles, mais laisse la place à la fantaisie.

Le choix du vin, lors de l’alliance avec les préparations culinaires, devra mettre en valeur, par ses caractéristiques gustatives et aromatiques, les mets et réciproquement, le choix est dit horizontal.

L’harmonie se fait donc sur trois plans : intensité, qualité, nature des sensations.
Le vin blanc doit se choisir avec soin pour s’accommoder avec la truffe. Même évolué, vieilli et généreux de nature, il est souvent anguleux, vert, il risque de détruire l’harmonie. Un vin rouge, en principe, contient plus de matière et s’avère plus charnu en bouche. La présence de tannins qui devront être fondus et amples, produiront avec l’alcool une longueur en bouche agréable et exquise.

Il existe également un autre type de choix : le choix vertical qui tient compte de la succession des mets et du vin au cours d’un même repas. Dans ce cas, il convient de respecter les règles suivantes :

  • Il faut varier les vins au cours du repas pour éviter que s’installe la monotonie.
  • La succession des plats entraîne la satiété des convives et émoussent leur sensibilité olfactive et gustative. La complexité des vins doit aller croissant.

Voici quelques exemples. Accompagnement de salades et d’entrer aux truffes :

  • Sur une salade de mâche et truffe au vinaigre de xérès et balsamiques, un rosé peut très bien convenir. La simplicité relative de ce vin permet d’apprécier les truffes et les nuances des deux vinaigres. Un rouge léger, servis frais, un vin pour la soif peut être agréable avec ce plat ou avec une salade de pommes de terre sautée, mêlée de lamelle de truffe.
  • Une salade de crustacés, homard ou langouste, avec du vinaigre de framboise, huile aromatisée à la truffe, haricots verts, fond d’artichaut, tomates et truffes en lamelles est un des rares plats s’accommodant parfaitement d’un vin blanc pour peu qu’il soit puissant, épais, dense, riche et complexe et qu’il ait connu le bois des barriques pendant quelques mois comme certains bourgognes ou côtes-du-rhône.
  • Des coquilles Saint-Jacques sur un lit de mâche assaisonnées de vinaigre de framboise et surmontées de truffes fraîches réclameront un vin plus vif, plus fin, au caractère végétal légèrement melliflu, mais cependant généreux en alcool (Hermitage de deux ou trois ans, côtes du Rhône etc.)

Cliquez ici pour découvrir des bonne recettes de truffes.

Vin Malin : achat de vins et champagnes sur Internet

Vin Malin : achat de vins et champagne sur Internet
Vin Malin : achat de vins et champagne sur Internet

Spécialisée dans la vente de vins sur Internet, Vin Malin propose une autre expérience de la vente de vins en ligne.

Design clair, épuré, le site internet permet de rechercher un vin par couleur à l’aide d’une navigation simple et intuitive.

Avec plus de 1500 références en stock, le catalogue des vins est présenté de manière fonctionnelle. Avec une sélection de vins rigoureusement sélectionnés, l’internaute néophyte (ou expert) pourra s’y retrouver !

La livraison est quant à elle, optimisée (en 24/48 h) puisque toutes les bouteilles proposées sont en stock et peuvent être expédiées dés réception de la commande.

Ce site propose également un « Guide Malin » pour choisir son vin en fonction de plusieurs critères : le prix, la provenance, les nouveautés, les meilleures ventes.

En plus de ces critères de sélection, une fiche produit détaillée décrit les vins et leur histoire et délivre des conseils astucieux sur la conservation du vin, sa température de dégustation, la manière de le servir ou encore les mets qu’il peut accompagner.

A acheter en ligne chez Vin-Malin.fr :

Château Lafaurie Peyraguey 1995

Château Lafaurie Peyraguey

Château Lafaurie Peyraguey 1995

Premier cru classé en appellation Sauternes, le Château Lafaurie-Peyraguey fait indiscutablement partie des perles à déguster en Sauternes. Le millésime 1995 nous révèle des notes complexes d’épices, de miel et d’Acacia.

Très long en bouche et soyeux, ce vin s’apprécie sur les desserts (crumble aux pommes par exemple) et sur les fromages forts, le bleu notamment.

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Château Gressier Grand Poujeaux 2005

Château Gressier Grand Poujeaux

Dégustation du Château Gressier Grand Poujeaux 2005

Second vin du Château Chasse-Spleen (qui a racheté la propriété en 2003), en appellation Moulis, le château Gressier Grand Poujeaux n’en demeure pas moins un excellent vin.

Le millésime 2005 ne faillit pas à sa réputation : couleur rubis à la robe grenat, le nez est charmeur et plutôt expressif sur des notes de fruits noirs (mûres, cassis), c’est un Moulis bien structuré, plaisant et assez facile à boire. Elevé en fût de chêne, on y retrouve également des notes boisés, voir torréfiées. A carafer une bonne heure avant dégustation.

Incontestablement le premier des seconds vins !

Ciseler un oignon – Comment faire ?

Comment ciseler un oignon ?

Comment ciseler un oignon ?

Cru ou cuit, l’oignon est omniprésent dans la cuisine du sud-ouest, voici quelques explications pour vous permettre de ciseler un oignon :

Munissez-vous d’abord d’un couteau à lame plate et d’une planche à découper. Ôtez la peau de l’oignon en commençant pour couper sa racine (à la base et au sommet du bulbe). Retirez lui la première peau et la deuxième de sorte à ce qu’il soit bien blanc. Coupez ensuite l’oignon en 2 (vous allez ciseler chacune des 2 moitiés d’oignon séparément).

Procédez ensuite à une série d’incisions horizontales de bas en haut en maintenant la face coupée de l’oignon sur la planche à découper (vos incisions ne doivent pas couper l’oignon en morceau, prenez garde à arrêter l’incision avant). Retournez ensuite l’oignon d’un quart de tour puis refaites une série d’incisions verticales cette fois-ci (perpendiculaires aux premières incisions).

En retournant à nouveau l’oignon d’un quart de tour, vous allez pouvoir ciseler l’oignon en petit dés que vous pourrez facilement frire ou utiliser en salade.