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Château Sociando Mallet 2004

Château Sociando Mallet 2004

Dégustation du Château Sociando Mallet 2004

Vin d’appellation Haut-Médoc, le Château Sociando-Mallet est composé de 55% de cabernet sauvignon, 40% de merlot et 5% de cabernet franc.

Le nez est très expressif, sur des notes de fruits rouges (cassis, myrtilles…), on y retrouve également la touche boisée du fût de chêne.

En bouche, les tanins sont assez marqués c’est pourquoi il convient de le carafer au moins une heure avant la dégustation. C’est un vin assez massif qui montre une belle densité et que l’on prendra plaisir à boire assurément sur des plats de terroir : magret de canard, gibier, viandes rouges, carré d’agneau…

Il prendra toutes ses lettres de noblesse dès 2015…!

La cuisson des poivrons au four

Poivrons grillant dans le four

Comment cuire des poivrons au four ?

Si avez en tête l’idée de concocter une bonne salade juive ou de réaliser des amuse-bouches ou des tapas à base de poivrons grillés, alors l’astuce suivante devrait vous être utile.

Pour griller des poivrons au four, rien de plus simple :

Préchauffez d’abord le four à 240 degrés (c’est à dire thermostat 7). Utilisez un plat à four traditionnel, de forme plutôt ronde si vous souhaitez griller plusieurs poivrons à la fois. Disposez les poivrons en entier (pas besoin de les couper ou de les épépiner) dans le plat et arrosez-les gentiment avec de l’huile d’olive. Pour y mettre un peu de saveur, vous pouvez y ajouter quelques aromates (ail, thym, laurier…), si l’envie vous en prend, vous pouvez également faire une petite incision à la base du poivrons pour y incorporer les aromates.

Déposer le plat à l’intérieur du four pendant une vingtaine de minutes.

Pendant ce temps, munissez-vous d’une poche en plastique dans laquelle vous placerez les poivrons tout juste sortis du four. Fermez cette poche hermétiquement et laissez refroidir les poivrons, la chaleur qui se dégagera de la poche va créer une condensation qui va décoller la peau des poivrons. Une fois que les poivrons sont refroidis, retirez-les de la poche, enlevez le pédoncule et retirez la peau avec les mains. Si vos poivrons sont bien cuits, vous ne devriez pas avoir besoin de couteau, sauf peut-être pour retirer les derniers pépin à l’intérieur du poivron.

Vous pouvez ensuite laisser mariner les poivrons grillés dans l’huile d’olive avant de les déguster. Pensez à les assaisonner avec du piment d’Espelette et de la fleur de sel !

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La cuisson du marget de canard

La cuisson du magret de canard

Comment cuire un magret de canard ?

Les magrets de canard sont issus de canards gras qui ont été gavés, c’est ce qui explique l’épaisseur de gras que l’on retrouve sur une partie de la viande.

La première opération va consister à faire quelques incitions dans la partie graisseuse à l’aide d’un couteau en prenant garde à ne pas attaquer la viande. Ces incitions vont permettre d’aérer la viande pendant la cuisson en libérant la chaleur. La cuisson du magret doit toujours débuter sur la partie graisseuse, inutile de préciser qu’il ne faut surtout pas rajouter d’huile ou tout autre matière grasse pour faciliter la cuisson du magret, car c’est sa propre graisse (au demeurant beaucoup plus gouteuse que les huiles de cuissons industrielles)  qui va cuire le magret.

Temps de cuisson du magret

Dans une poêle bien chaude (et sans corps gras donc…), disposez la viande côté peau. Petit à petit la graisse du canard va fondre sous la chaleur, à l’aide d’une cuillère, arrosez la partie de la viande avec la graisse fondue. Au bout de 2 min 30 ou 3 min en fonction de l’épaisseur du magret, retournez le morceaux côté viande cette fois-ci. Faites simplement colorer la partie de la chaire en laissant cuire le magret 2 à 3 minutes.

Terminez ensuite la cuisson de votre magret au four !

Dans un plat, positionnez le magret côté graisse (peau) sur le dessus puis terminer la cuisson pendant 12 à 13 minutes thermostat 7 (pour un magret de 300g).

Avant la découpe, laissez reposer la viande 4 à 5 minutes. Pendant la découpe, le magret doit rester ferme sans perdre son jus.

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Association Bleu Blanc Coeur ou le respect de la chaîne alimentaire

Association Bleu Blanc Coeur

Pour le respect d’une chaîne alimentaire traçée

L’association « Bleu-Blanc-Coeur » réunit des producteurs, distributeurs et scientifiques dont la mission est de promouvoir et de contrôler la qualité des produits alimentaires issus de la filière Tradilin.

Autrefois, les éleveurs donnaient des graines de lin bouillies aux animaux de leur ferme, observant que des animaux vigoureux et en bonne santé leur procuraient également des produits savoureux et de qualité (dont les bienfaits sont aujourd’hui avérés par des études cliniques).

La teneur de nos produits (viandes, charcuteries, oeufs, lait…) en acides gras essentiels Oméga 3 sont la preuve d’une chaîne alimentaire respectueuse des équilibres naturels, depuis le champ de lien jusqu’à l’assiette du consommateur.

Le lin est la plus vielle plante utilisée au monde, elle est également très riche en Oméga 3, si les animaux consomment des graines de lins, alors ils deviennent eux-mêmes sources naturelles d’Oméga 3, si précieux pour la santé.

Plus d’informations sur la filière Tradilin et l’association Bleu Blanc Coeur

Graines de lien (riche en Oméga 3)

Fleur de lin

Château Pontet Canet 2001, Pauillac

Château Pontet Canet

Ce Pauillac est un légende…

5ème cru classé en 1885, je dois avouer que le Château Pontet-Canet m’a laissé pantois… Dégusté à l’occasion des fêtes de fin d’année, le millésime 2001 vous envoute déjà par son nez : une richesse aromatique très subtile, des notes de fruits confiturés (cassis, voir même pruneau…), s’ensuivent des notes grillées et légèrement épicées, le tout sur une couleur rubis très fonçée.

En bouche, on le trouve suave, du velour… Les notes boisées nous rappellent son passage en fût de chêne, très équilibré, il a également une bonne longueur en bouche.

Dégustez-le sur des plats traditionnels : gibiers en sauces, magret de canard, entrecôtes…

Une vraie découverte, pour moi sans conteste l’un des tout premiers de l’appellation Pauillac.

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Cuisine et santé : les recettes du bien être

Cuisine et santé, les recettes du bien-être !

Manger en faisant plaisir à son palet et du bien à son corps, c’est possible ?

Incontestablement oui ! Il suffit d’un peu de volonté pour oublier certains petits pêchers gourmands tout en privilégiant certains aliments. La règle est simple : le retour à l’équilibre et aux bons produit.

Cholesthérol, hypertension, stress, obésité… Les maladies cardio-vasculaires sont fréquentes en France, pourtant il a été prouvé que notre alimentation pouvait avoir des effets bénéfiques directs dans la prévention de ce genre de maladie.

Quel régime faut-il donc suivre ?

Sur le podium, le régime méditerranéen :

Il consiste à donner la part belle aux fruits et légumes : oranges, kiwis, fraises, choux, persil et épinards, gorgés de vitamine C. La carotte et la tomate peuvent également oeuvrer dans le bon sens en matière de prévention du risque cardio-vasculaire. En effet la tomate possède un puissant antioxidant qui paraît-il préviendrait également les risques de cancert.

Abusez également du poisson !

Priviligiez les poissons gras comme le maquereau, le thon, le saumon, la sardine etc. car ils apporent les acides gras oméga 3 essengtiels à notre organisme (On recommande un apport de 120 grammes trois fois par semaine)

Avec modération : l’ail et le vin

L’ail est l’aliment santé par excellence car il prévient la formation des caillots de sang, consommer sans modération (si vous êtes seul 😉 !
Les polyphénols du vins abaisseraient quant à eux le taux de mauvais cholestérol.
Aux oubliettes, le sel, très mauvais pour l’hypertension, les margarines et les aliments préparés avec des graisses hydrogénées ou acides gras. Quant à la charcuterie, bien qu’elle soit souvent l’allié idéale de la cuisine du Sud-Ouest, consommons-là avec modération !

Fruits et légumes : à volonté !

Encore et toujours, la tomate et la carotte, mais aussi le pamplemousse, le kiwi, la pastèque ou la mangue. On croque aussi le brocoli, les épinards, le maïs, l’oseille. La vitamine C donne souplesse et fermeté à la peau.

Les bienfaits marins

Le zinc contenu dans les fruits de mer contribue à la beauté (et à la bonne santé) des cheveux. Du peps aussi avec des aliments riches en fer, comme le poisson, la volaille, la viande. Sans oublier que les acides gras des poissons participent à la bonne hydratation de la peau.

Mieux manger pour mieux lutter contre les stress

L’apathie ou l’insomnie peuvent aussi se combattre à coups de fourchette! Il existe des aliments qui parait-il influent sur notre humeur, en agissant sur les neurotransmetteurs de notre cerveau. Sans oublier que le déséquilibre alimentaire favorise le stress…

Acides gras for ever

Encore et toujours, les acides gras contenus dans les poissons sont plébiscités: certaines études ont démontré qu’il favoriseraient la bonne humeur et aideraient à lutter contre la déprime. Ne pas hésiter à en consommer très souvent. L’idée est bien entendu de varier les recettes pour ne pas tomber dans la routine…

Et pour les adeptes du chocolat…

Il recèle de magnésium et il est souvent vanté pour ses propriétés antidépresseurs. Beaucoup de magnésium également dans les fruits secs (abricots, bananes, amandes…) qui participent à la régulation de l’humeur.

Le lait et les tisanes favorisent le sommeil

L’aubépine et la passiflore calment l’anxiété. Une carence en vitamines B6, B12 et B9 peuvent accentuer les troubles de l’humeur. Ne pas oublier les viandes, les œufs, les produits laitiers, les petits pois et le soja…

Et voilà ! la démonstration est faite : ce n’est pas si compliqué d’allier cuisine, plaisir et santé !

Château Fleur Haut Gaussens 2006, Bordeaux supérieur

La belle surprise de la Foire aux vins

Conseillé par l’Express Mag dans un article consacré à la foire aux vins, le château Fleur Haut Gaussens (Bordeaux supérieur) à capté mon attention… Et mon palet d’amateur !

Ce vin charmeur nous séduit par sa fraîcheur en bouche associée à des notes boisées, voir fumées, assez typiques du Bordelais, merveilleusement accompagnées des légendaires « petites baies noires ». Intense, à la couleur rouge sombre, le nez révèle des arômes de sous-bois dignent des grands vins de Bordeaux.

Fleur Haut Gaussens est sans conteste possible un vin à découvrir et naturellement à posséder dans sa cave, prêt à ouvrir pour les occasions de tous les jours, comme pour les grands événements !

Tartares et carpaccios : les poissons aussi !

Carpaccio de poisson

Le saumon et le thon bien sûr, mais aussi le bar, la daurade, le merlu ou, plus osé, le hareng que l’on adoucit de vanille : de nombreux poissons peuvent se déguster crus. Le secret réside dans la marinade, elle doit être parfumée mais ne pas trop « cuire » la chair.

Avec le saumon : citron, pommes acides et groseilles pour un mélange frais et rafraîchissant. Ou en version scandinave, longuement mariné avec de la moutarde douce, du sucre et des bouquets d’aneth.

Avec le thon : sauce soja, gingembre et sésame pour une inspiration asiatique. World food toujours avec pamplemousses roses et marinade aux épices douces.

Avec les poissons maigres : citron, tomates et herbes variées – aneth, estragon, basilic -. Ou olives, thym et un trait de vinaigre balsamique. On aime aussi beaucoup ce tartare des îles, baigné de lait de coco, citron vert et coriandre.

Avec les Saint-jacques : fruits exotiques et gingembre, vanille ou safran. Et, pour les jours de fêtes, de la truffe, classique et gastronomique !

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La Pompadour 2007 (cave de Castelmaure)

La Pompadour

Joli coup de cœur pour un vin du Languedoc qui assurément tient le haut du pavé

Facile à boire, ce vin révèle des notes typiques de la région : garrigue, épices avec quelques notes vanillées en finale, le tout sur des arômes puissants de mûres et de fruits rouges qui ressortent très bien au nez, avec une rondeur et une finesse en bouche digne des grands crus. Soyeux et élégant, la finale est longue et très agréable, en bref, un vin sans prétention aucune et encore moins sans complexe !

A déguster avec des plats épicés, gibiers, viande en sauce…

Cépages : carignan 50%, grenache noir 20%, syrah 30%.

Dégustation La Pompadour 2007 (cave de Castelmaure)

Comment déveiner un foie gras ?

Les 7 étapes à suivre pour déveiner un foie gras

Déveiner un foie gras : étape 1

Déveiner un foie gras : étape 1

Choisir un beau foie gras, bombé et ferme, de préférence froid.

Déveiner un foie gras : étape 2

Déveiner un foie gras : étape 2

Séparer les deux lobes.

Déveiner un foie gras : étape 3

Déveiner un foie gras : étape 3

A l’aide d’un couteau, soulever la veine et la retirer entièrement.

Déveiner un foie gras : étape 4

Déveiner un foie gras : étape 4

Retourner le lobe de foie gras et l’entailler au centre   pour repérer le réseau des veines.

Déveiner un foie gras : étape 5

Déveiner un foie gras : étape 5

Retirer les veines avec le couteau.

Déveiner un foie gras : étape 6

Déveiner un foie gras : étape 6

Procéder de la même manière avec le deuxième lobe et surtout, ne pas avoir peur de “déformer” le foie, il se reconstituera parfaitement à la cuisson !

Déveiner un foie gras : étape 7

Déveiner un foie gras : étape 7

Reconstituer le foie en posant les deux lobes l’un sur l’autre. Le foie gras est maintenant prêt à être assaisonné pour être cuisiné !