Archives de catégorie : Fruits & légumes

Cuisiner les fruits et légumes.

Saveurs Sud Charente : association des producteurs fermiers du Sud Charente

Association Saveurs du Sud CharenteL’association Saveurs Sud Charente lance son site internet

Les 25 membres de l’Association des producteurs du Sud-Charente ont inauguré en fanfare mardi 20 mars 20012 la mise en ligne de leur site internet. L’association est née d’un constat simple : le Sud-Charente est riche de pas moins de 190 producteurs fermiers, 25 d’entre eux (pour le moment) se sont regroupés pour faire valoir leur terroir et leur savoir-faire, en mutualisant leurs moyens pour proposer un outil de communication dans l’air du temps.

Le site présente individuellement chaque producteur avec photos et description de leur activité, mais permet également d’avoir un aperçu des productions de chacun (foie gras, viande, miel, pain, fruits & légumes…) : une « mise en bouche virtuelle » qui permet de rendre à l’agriculture paysanne ses lettres de noblesse.

Pour contacter l’association Saveur Sud Charente

Domaine de Mignaberry 2003 (vin d’Yroulegy)

Domaine de Mignaberry
Domaine de Mignaberry

Issu de la cave coopérative des vins d’Yroulégy, le domaine de Mignaberry est la cuvée la plus représentative de ce vignoble. Le millésime 2003, si particulier en raison des conditions climatiques  (canicule), confère au vin un caractère bien marqué. En effet, le Tannat et le Merlot sont bien présents et exacerbent les arômes des fruits confits, fruits rouges bien mûres, le tout sur une belle puissance en bouche, plutôt agréable, mais différente de ce que produit ce vignoble habituellement.

De toute évidence, ce millésime 2003 marquera par son caractère mais devra être consommé assez rapidement.

Que boire avec des truffes ?

Truffes et vins
Quel vin boire avec les truffes ?

Avec quels vins faut-il manger des truffes ?

Le vin ne doit ni détruire, ni remporter le goût, il se veut complémentaire. Il doit s’harmoniser. Dans le domaine de l’art, source d’innovation, les règles ne sont pas intangibles, mais laisse la place à la fantaisie.

Le choix du vin, lors de l’alliance avec les préparations culinaires, devra mettre en valeur, par ses caractéristiques gustatives et aromatiques, les mets et réciproquement, le choix est dit horizontal.

L’harmonie se fait donc sur trois plans : intensité, qualité, nature des sensations.
Le vin blanc doit se choisir avec soin pour s’accommoder avec la truffe. Même évolué, vieilli et généreux de nature, il est souvent anguleux, vert, il risque de détruire l’harmonie. Un vin rouge, en principe, contient plus de matière et s’avère plus charnu en bouche. La présence de tannins qui devront être fondus et amples, produiront avec l’alcool une longueur en bouche agréable et exquise.

Il existe également un autre type de choix : le choix vertical qui tient compte de la succession des mets et du vin au cours d’un même repas. Dans ce cas, il convient de respecter les règles suivantes :

  • Il faut varier les vins au cours du repas pour éviter que s’installe la monotonie.
  • La succession des plats entraîne la satiété des convives et émoussent leur sensibilité olfactive et gustative. La complexité des vins doit aller croissant.

Voici quelques exemples. Accompagnement de salades et d’entrer aux truffes :

  • Sur une salade de mâche et truffe au vinaigre de xérès et balsamiques, un rosé peut très bien convenir. La simplicité relative de ce vin permet d’apprécier les truffes et les nuances des deux vinaigres. Un rouge léger, servis frais, un vin pour la soif peut être agréable avec ce plat ou avec une salade de pommes de terre sautée, mêlée de lamelle de truffe.
  • Une salade de crustacés, homard ou langouste, avec du vinaigre de framboise, huile aromatisée à la truffe, haricots verts, fond d’artichaut, tomates et truffes en lamelles est un des rares plats s’accommodant parfaitement d’un vin blanc pour peu qu’il soit puissant, épais, dense, riche et complexe et qu’il ait connu le bois des barriques pendant quelques mois comme certains bourgognes ou côtes-du-rhône.
  • Des coquilles Saint-Jacques sur un lit de mâche assaisonnées de vinaigre de framboise et surmontées de truffes fraîches réclameront un vin plus vif, plus fin, au caractère végétal légèrement melliflu, mais cependant généreux en alcool (Hermitage de deux ou trois ans, côtes du Rhône etc.)

Cliquez ici pour découvrir des bonne recettes de truffes.

Ciseler un oignon – Comment faire ?

Comment ciseler un oignon ?

Comment ciseler un oignon ?

Cru ou cuit, l’oignon est omniprésent dans la cuisine du sud-ouest, voici quelques explications pour vous permettre de ciseler un oignon :

Munissez-vous d’abord d’un couteau à lame plate et d’une planche à découper. Ôtez la peau de l’oignon en commençant pour couper sa racine (à la base et au sommet du bulbe). Retirez lui la première peau et la deuxième de sorte à ce qu’il soit bien blanc. Coupez ensuite l’oignon en 2 (vous allez ciseler chacune des 2 moitiés d’oignon séparément).

Procédez ensuite à une série d’incisions horizontales de bas en haut en maintenant la face coupée de l’oignon sur la planche à découper (vos incisions ne doivent pas couper l’oignon en morceau, prenez garde à arrêter l’incision avant). Retournez ensuite l’oignon d’un quart de tour puis refaites une série d’incisions verticales cette fois-ci (perpendiculaires aux premières incisions).

En retournant à nouveau l’oignon d’un quart de tour, vous allez pouvoir ciseler l’oignon en petit dés que vous pourrez facilement frire ou utiliser en salade.

La cuisson des poivrons au four

Poivrons grillant dans le four

Comment cuire des poivrons au four ?

Si avez en tête l’idée de concocter une bonne salade juive ou de réaliser des amuse-bouches ou des tapas à base de poivrons grillés, alors l’astuce suivante devrait vous être utile.

Pour griller des poivrons au four, rien de plus simple :

Préchauffez d’abord le four à 240 degrés (c’est à dire thermostat 7). Utilisez un plat à four traditionnel, de forme plutôt ronde si vous souhaitez griller plusieurs poivrons à la fois. Disposez les poivrons en entier (pas besoin de les couper ou de les épépiner) dans le plat et arrosez-les gentiment avec de l’huile d’olive. Pour y mettre un peu de saveur, vous pouvez y ajouter quelques aromates (ail, thym, laurier…), si l’envie vous en prend, vous pouvez également faire une petite incision à la base du poivrons pour y incorporer les aromates.

Déposer le plat à l’intérieur du four pendant une vingtaine de minutes.

Pendant ce temps, munissez-vous d’une poche en plastique dans laquelle vous placerez les poivrons tout juste sortis du four. Fermez cette poche hermétiquement et laissez refroidir les poivrons, la chaleur qui se dégagera de la poche va créer une condensation qui va décoller la peau des poivrons. Une fois que les poivrons sont refroidis, retirez-les de la poche, enlevez le pédoncule et retirez la peau avec les mains. Si vos poivrons sont bien cuits, vous ne devriez pas avoir besoin de couteau, sauf peut-être pour retirer les derniers pépin à l’intérieur du poivron.

Vous pouvez ensuite laisser mariner les poivrons grillés dans l’huile d’olive avant de les déguster. Pensez à les assaisonner avec du piment d’Espelette et de la fleur de sel !

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Association Bleu Blanc Coeur ou le respect de la chaîne alimentaire

Association Bleu Blanc Coeur

Pour le respect d’une chaîne alimentaire traçée

L’association « Bleu-Blanc-Coeur » réunit des producteurs, distributeurs et scientifiques dont la mission est de promouvoir et de contrôler la qualité des produits alimentaires issus de la filière Tradilin.

Autrefois, les éleveurs donnaient des graines de lin bouillies aux animaux de leur ferme, observant que des animaux vigoureux et en bonne santé leur procuraient également des produits savoureux et de qualité (dont les bienfaits sont aujourd’hui avérés par des études cliniques).

La teneur de nos produits (viandes, charcuteries, oeufs, lait…) en acides gras essentiels Oméga 3 sont la preuve d’une chaîne alimentaire respectueuse des équilibres naturels, depuis le champ de lien jusqu’à l’assiette du consommateur.

Le lin est la plus vielle plante utilisée au monde, elle est également très riche en Oméga 3, si les animaux consomment des graines de lins, alors ils deviennent eux-mêmes sources naturelles d’Oméga 3, si précieux pour la santé.

Plus d’informations sur la filière Tradilin et l’association Bleu Blanc Coeur

Graines de lien (riche en Oméga 3)

Fleur de lin

Cuisine et santé : les recettes du bien être

Cuisine et santé, les recettes du bien-être !

Manger en faisant plaisir à son palet et du bien à son corps, c’est possible ?

Incontestablement oui ! Il suffit d’un peu de volonté pour oublier certains petits pêchers gourmands tout en privilégiant certains aliments. La règle est simple : le retour à l’équilibre et aux bons produit.

Cholesthérol, hypertension, stress, obésité… Les maladies cardio-vasculaires sont fréquentes en France, pourtant il a été prouvé que notre alimentation pouvait avoir des effets bénéfiques directs dans la prévention de ce genre de maladie.

Quel régime faut-il donc suivre ?

Sur le podium, le régime méditerranéen :

Il consiste à donner la part belle aux fruits et légumes : oranges, kiwis, fraises, choux, persil et épinards, gorgés de vitamine C. La carotte et la tomate peuvent également oeuvrer dans le bon sens en matière de prévention du risque cardio-vasculaire. En effet la tomate possède un puissant antioxidant qui paraît-il préviendrait également les risques de cancert.

Abusez également du poisson !

Priviligiez les poissons gras comme le maquereau, le thon, le saumon, la sardine etc. car ils apporent les acides gras oméga 3 essengtiels à notre organisme (On recommande un apport de 120 grammes trois fois par semaine)

Avec modération : l’ail et le vin

L’ail est l’aliment santé par excellence car il prévient la formation des caillots de sang, consommer sans modération (si vous êtes seul 😉 !
Les polyphénols du vins abaisseraient quant à eux le taux de mauvais cholestérol.
Aux oubliettes, le sel, très mauvais pour l’hypertension, les margarines et les aliments préparés avec des graisses hydrogénées ou acides gras. Quant à la charcuterie, bien qu’elle soit souvent l’allié idéale de la cuisine du Sud-Ouest, consommons-là avec modération !

Fruits et légumes : à volonté !

Encore et toujours, la tomate et la carotte, mais aussi le pamplemousse, le kiwi, la pastèque ou la mangue. On croque aussi le brocoli, les épinards, le maïs, l’oseille. La vitamine C donne souplesse et fermeté à la peau.

Les bienfaits marins

Le zinc contenu dans les fruits de mer contribue à la beauté (et à la bonne santé) des cheveux. Du peps aussi avec des aliments riches en fer, comme le poisson, la volaille, la viande. Sans oublier que les acides gras des poissons participent à la bonne hydratation de la peau.

Mieux manger pour mieux lutter contre les stress

L’apathie ou l’insomnie peuvent aussi se combattre à coups de fourchette! Il existe des aliments qui parait-il influent sur notre humeur, en agissant sur les neurotransmetteurs de notre cerveau. Sans oublier que le déséquilibre alimentaire favorise le stress…

Acides gras for ever

Encore et toujours, les acides gras contenus dans les poissons sont plébiscités: certaines études ont démontré qu’il favoriseraient la bonne humeur et aideraient à lutter contre la déprime. Ne pas hésiter à en consommer très souvent. L’idée est bien entendu de varier les recettes pour ne pas tomber dans la routine…

Et pour les adeptes du chocolat…

Il recèle de magnésium et il est souvent vanté pour ses propriétés antidépresseurs. Beaucoup de magnésium également dans les fruits secs (abricots, bananes, amandes…) qui participent à la régulation de l’humeur.

Le lait et les tisanes favorisent le sommeil

L’aubépine et la passiflore calment l’anxiété. Une carence en vitamines B6, B12 et B9 peuvent accentuer les troubles de l’humeur. Ne pas oublier les viandes, les œufs, les produits laitiers, les petits pois et le soja…

Et voilà ! la démonstration est faite : ce n’est pas si compliqué d’allier cuisine, plaisir et santé !

La tomate : une star de saison

Tomate star de l'été

C’est l’été que l’on peut vraiment apprécier toute la saveur et les bienfaits de la tomate, même si on en trouve toute l’année sur les étals des (super)marchés. La saison débute en juillet pour s’achever en octobre.
Il existe de nombreuses variétés de tomates. A croquer ou à cuisiner… Laissez-vous tenter par l’allongée (appréciée en coulis et en sauce), la tomate cerise (poêlées et caramélisées par exemple), la cocktail (en entrée), la côtelée comme la Marmande et la Cœur de bœuf (divines en salade, en piperades, ratatouilles…), la grappe ou encore la ronde (idéale farcie, crue ou cuite).

La meilleure reste la tomate amenée à maturité dans votre potager ou encore celle du petit producteur sur le marché de votre quartier. Un conseil : sélectionnez les tomates bien fermes, à la peau lisse et qui dégagent un léger parfum. A température ambiante et à l’abri du soleil, elles se conserveront environ une semaine. On peut placer les tomates au frigo afin de ralentir leur mûrissement. Surtout, il ne faut les laver qu’au moment de les utiliser, en évitant l’eau trop froide.

La tomate est composée à 95% d’eau et n’apporte pas plus de 15 calories pour 100 g. Elle favorise aussi l’élimination des toxines. On peut donc en déguster à volonté et sans regret, même en cas de régime.
Car la tomate se révèle une bonne alliée de notre santé. Ses nombreuses variétés sont gorgées de vitamines A, B et C et de bétacarotène. Les teneurs maximales (20 mg et plus) en vitamine C se rencontrent dans les tomates de plein champ, en pleine saison. Signalons également des teneurs non négligeables en fer et en zinc, ainsi que des traces de cobalt, de nickel, de fluor, de bore, de sélénium.

Autant d’arguments gourmands et déculpabilisants… A vos paniers.

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Ail, c’est bien fait pour ma santé !

L'ail, c'est bien fait pour la santé !

Saviez-vous que l’ail avait une action plus que bénéfique sur le taux de cholestérol et sur l’hypertension ?

Voilà qui va ravir les consommateurs d’ail, des études ont prouvées qu’une consommation régulière permettait d’éviter significativement la formation de caillots à l’intérieur du sang. Selon ces mêmes études, une consommation de 3 grammes d’ail cru par jour (gare à la mauvaise haleine !) abaisserait le taux de cholestérol de 20% en moyenne !

Et ce n’est pas tout, l’ail est en effet également très riche en oligo-éléments et apporte à notre organisme tous les nutriments nécessaires.

Condiment incontournable dans la cuisine du sud-ouest, l’ail est un condensé de saveurs mais également un allié salutaire !