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La plancha, basque et fière de l’être

La plancha, basque et fière de l'être !

Des produits de qualité et une pincée de créativité : la cuisine à la plancha est une recette toute simple. Pas de prises de tête, ni de recettes compliquées : c’est le mode de cuisson qui sublime vos préparations.

La cuisine à la plancha évoque la gastronomie basque et les repas d’été en toute convivialité. A nous les chipirons grillés ou les moules, réveillées d’un trait d’huile d’olive, d’ail et d’une bonne dose de piment d’Espelette. Autres incontournables, la dorade et le merlu à l’espagnole, avec ail et vinaigre de xérès. Les viandes aiment aussi beaucoup la plancha : côtelettes d’agneau, lomo, parillada de canard, sans oublier le chorizo. Du côté des légumes, le champion reste le poivron mariné. En dessert, on peut tester la brochette de fruits de saison, tout simplement.

L’utilisation des marinades est conseillée, elle apportera une touche originale à votre cuisine à la plancha, tout en parfumant et attendrissant les aliments. Abusez des huiles parfumées, du vinaigre balsamique, des agrumes, des vins, de la sauce soja… Le piment d’Espelette est un classique. Curry, curcuma et cumin apportent une touche exotique tout comme les herbes aromatiques, fraîches et séchées.

A noter, une bonne plancha doit pouvoir atteindre 270°. Les plus performantes vont même juste qu’à 350°. Les prix peuvent varier de 50 (pour les planchas électriques) à 1000 euros. Pour une bonne plancha, il faut compter entre 300 et 800 euros. Made in Euzkadi, de préférence. On nettoie sa plancha une fois refroidie, en évitant les éponges abrasives. Pour cuire une viande après un poisson en évitant mariage intempestif de saveurs contradictoires, on peut utiliser des glaçons, du vinaigre blanc ou du gros sel.

Retrouvez toutes nos recettes à la plancha !

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La tomate : une star de saison

Tomate star de l'été

C’est l’été que l’on peut vraiment apprécier toute la saveur et les bienfaits de la tomate, même si on en trouve toute l’année sur les étals des (super)marchés. La saison débute en juillet pour s’achever en octobre.
Il existe de nombreuses variétés de tomates. A croquer ou à cuisiner… Laissez-vous tenter par l’allongée (appréciée en coulis et en sauce), la tomate cerise (poêlées et caramélisées par exemple), la cocktail (en entrée), la côtelée comme la Marmande et la Cœur de bœuf (divines en salade, en piperades, ratatouilles…), la grappe ou encore la ronde (idéale farcie, crue ou cuite).

La meilleure reste la tomate amenée à maturité dans votre potager ou encore celle du petit producteur sur le marché de votre quartier. Un conseil : sélectionnez les tomates bien fermes, à la peau lisse et qui dégagent un léger parfum. A température ambiante et à l’abri du soleil, elles se conserveront environ une semaine. On peut placer les tomates au frigo afin de ralentir leur mûrissement. Surtout, il ne faut les laver qu’au moment de les utiliser, en évitant l’eau trop froide.

La tomate est composée à 95% d’eau et n’apporte pas plus de 15 calories pour 100 g. Elle favorise aussi l’élimination des toxines. On peut donc en déguster à volonté et sans regret, même en cas de régime.
Car la tomate se révèle une bonne alliée de notre santé. Ses nombreuses variétés sont gorgées de vitamines A, B et C et de bétacarotène. Les teneurs maximales (20 mg et plus) en vitamine C se rencontrent dans les tomates de plein champ, en pleine saison. Signalons également des teneurs non négligeables en fer et en zinc, ainsi que des traces de cobalt, de nickel, de fluor, de bore, de sélénium.

Autant d’arguments gourmands et déculpabilisants… A vos paniers.

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Bodega Altanza Lealtanza Rioja Crianza 2004

J’ai eu l’occasion et la chance de déguster récemment un vin espagnol de la Rioja : le Bodega Altanza Lealtanza Rioja Crianza (millésime 2004).

Après quelques recherches sur le Web, je me suis aperçu que ce vin avait été noté 90/100 par Robert Parker ! Voilà qui conforte mon opinion, car ce vin à la fois facile à boire et particulièrement bien équilibré, laisse également apparaître quelques notes plus complexes de sous-bois et de fruits rouges bien mûrs, voir même quelques notes poivrées. Ce vin charmeur et très plaisant à boire pour les amateurs, comme pour les non-initiés.

Accompagné d’un pâté pur porc en provenance directe du producteur basque (Hoberena), on s’approche de la perfection !

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Altanza Rioja

Crédit photo : www.wineandco.com

Les tapas : amuse bouche par excellence !

Tapas

Le mot « tapas » vient du verbe « tapar » qui signifie couvrir en Castillan, en référence à cette ancienne tradition espagnole qui consistait à recouvrir chaque verre d’une tranche de pain, de jambon ou de fromage.

Les tapas que l’on déguste aujourd’hui représentent tout un assortiment de petits plats riches en couleurs et en saveurs, avec une typicité propre à certaines régions. Les tapas rappellent toujours l’ambiance festive de l’Andalousie et toute l’animation populaire que les espagnols offrent dans les rues. De bars en tavernes, boire et manger des tapas sur un fond musical fait parti de la culture espagnole.

Mais les tapas ne sont pas seulement des petites portions qui accompagnent un apéro entre amis, ces petites assiettes de jambon et de chorizo, de poivrons grillés ou d’omelette sont des ingrédients indispensables pour passer un moment convivial et festif en laissant le temps s’écouler au rythme de la soirée. C’est toute la différence avec nos traditionnels canapés et même avec les prétentieux « cocktails dînatoires ».

Avec les tapas, le grignotage devient culturel, voire démocratique !

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Comment découper un canard ?

Les 11 étapes pour découper un canard frais :

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Première étape

Découpe du canard : étape 1

Couper le cou du canard.

Deuxième étape

Découpe du canard : étape 2

Avec la lame du couteau, suivre le bréchet du canard de haut en bas.

Troisième étape

Découpe du canard : étape 3

Dégager les magrets en les séparant de la carcasse (les aiguillettes restent sur celle-ci).

Quatrième étape

Découpe du canard : étape 4

Avec le couteau, couper l’articulation du manchon et du haut de la carcasse.

Cinquième étape

Découpe du canard : étape 5

Continuer par couper l’articulation de la cuisse et du bas de la carcasse.

Sixième étape

Découpe du canard : étape 6

Dégager la carcasse du paletot à l’aide du couteau.

Septième étape

Découpe du canard : étape 7

Couper le paletot en deux en séparant les deux cuisses attenantes des deux magrets.

Huitième étape

Découpe du canard : étape 8

Couper les magrets en les séparant des manchons.

Neuvième étape

Découpe du canard : étape 9

Dégager le surplus de gras entourant le magret mais laissez-en suffisamment pour une bonne cuisson.

Dixième étape

Découpe du canard : étape 10

Tailler les cuisses assez large si vous souhaitez les confire et moins large pour les faire griller.

Onzième étape

Découpe du canard : étape 11

Les différents morceaux du canard après la découpe.

Vous trouverez d’excellent magrets de canard en vente chez les fermiers gastronomes, producteurs de produits de la ferme à Saint-Romain en Charente.

Sushi : le régal des yeux et des papilles

Pour les Japonais, la nourriture doit combler tous les sens. Préparée avec le plus grand soin, elle réunit des ingrédients de première fraîcheur pour régaler les yeux autant que les papilles gustatives.

Les produits de la mer et de riz constitue la base de l’alimentation nipponne. Le sashimi est souvent servi en entrée, il consiste habituellement en un assortiment de coquillages et de poisson cru, joliment disposées sur un plat, accompagné de sauce. Les sushis son le plat de résistance ou l’avant-dernier plat, juste avant le dessert. Sushis désigne le riz vinaigré surmonté de sashimi, d’un morceau d’omelette, de légumes ou encore servis roulé dans une feuille de Nori. À côté des sushis, on vous servira une petite motte de wasabi (moutarde très piquante), quelques rondelles de gingembre marinées et de la sauce soja.

Le sushi est une nourriture simple légère et saine. Le poisson cru et les fruits de mer contiennent des vitamines et des minéraux, une grande quantité d’acides gras oméga trois, excellents pour la santé, et très peu de cholestérol. La confection des sushis est assez facile pour que l’amateur apprenne à les réaliser chez lui, est assez complexe pour exiger d’un chef professionnel des années de pratique .

Comment conserver la truffe noire

Il existe différents modes de conservation de la truffe

Conservation dans l’huile

Pour une durée d’environ 15 jours, on peut conserver les truffes dans l’huile. On utilisera une huile faible en goût, telle que l’huile de pépins de raisin ou l’huile de tournesols. La truffe une fois séchée est largement recouverte d’huile. On obtiendra ainsi une huile parfumée aux truffes, que l’on utilisera sur une salade, ou des pommes de terre chaude en la versant avant de servir. Ne surtout pas l’utiliser comme huile de cuisson, car les arômes disparaîtraient. L’inconvénient majeur de ce mode de conservation réside dans le fait que la truffe perd considérablement ses arômes.

La congélation

Au niveau familiale et pour une durée pouvant aller jusqu’à la prochaine récolte, la congélation est intéressante. On prendra soin d’envelopper chaque truffe, une fois lavée et séchée, dans un papier aluminium (les grosses truffes pourront être coupées en deux morceaux). Afin de ne pas les égarer dans le congélateur on les mettra dans un récipient et on procédera à la congélation à -18°. On disposera tout au long de l’année de truffes facilement utilisables. Cependant, une truffe conservée par congélation nécessite pour l’utiliser de prendre les mêmes précautions que pour une truffe de conserve. À peine décongelés, encore ferme, il convient de l’apprêter et de la laisser séjourner avec les aliments capteurs d’arômes.

La stérilisation

Inutile d’expliquer le principe chacun a déjà pratiqué cette méthode. Les truffes sont disposées dans de petits bocaux (il existe des petits modèles avec caoutchouc) avec une pincée de sel, et une demie cuillère à café d’eau (certain ajoute parfois un peu de vin blanc). Les truffes seront ensuite portées à ébullition pendant une heure. Les bocaux ne seront retirés de l’eau qu’après refroidissement. On prendra soin de les entreposer à l’abri de la lumière et de la chaleur. Leur conservation peut sans difficulté aller jusqu’à quatre ans.

La conservation dans l’alcool

une fois grossière et lavée, les truffes disposées dans des beaucoup sont recouvertes de cognac, armagnac, etc. Ce procédé a l’inconvénient d’anéantir les arômes de la truffe, mais par contre de parfumer l’alcool. Ce mode de conservation est utilisé pour la préparation de sauce ou de Pathé truffée, qui au demeurant ont plus le parfum d’alcool que de truffes.

La dessiccation

Les résultats sont peu intéressant dans la mesure où le séchage, même à faible température, contribue à l’évaporation des arômes. Le procédé consiste à découper des truffes en rondelles de 2 mm, de les disposer ensuite sur la plaque du four, ventilé si possible, et à faible température. Le temps de séchage est fonction de l’humidité. L’opération sera renouvelée plusieurs fois, à raison d’une demi-heure par jour. Une fois sèche, elles seront stockées dans un pot hermétique. Pour leur utilisation, il suffira de les faire tremper dans l’eau environ une heure.

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Le tajine

le tajine est le plat dans lequel cuit le ragoût qui à l’heure actuelle porte son nom. Subtil mariage de viande, de légumes, de poissons, de fruits, il est aromatisé d’épices et/ou du fameux mélange dit « Raz-el-Hanout ».

les plats à tajine sont composés d’une base creuse et ronde et d’un couvercle conique à cheminée. Ce dernier, de hauteur conséquente et de forme conique, fait que la chaleur se répartie de manière la plus homogène qui soit et que la vapeur d’eau, montant et descendant constamment, humidifie viandes, poissons et légumes de la meilleure des façons.

Si vous n’avez pas de plat à tajine, vous pouvez le remplacer par une cocotte en fonte, qui est parfaitement adaptée à la cuisson à l’étouffer. Néanmoins, elle ne possède pas le fameux couvercle conique, sans lequel le tajine ne peut être une entière réussite.

Le ras el-hanout

Au Maroc, chaque boutique d’épices possède sa propre recette de ras el-hanout, qui signifie « tête de l’épicier » ou encore « épices du maître ».

Vendu en supermarché, il ne se compose que d’une dizaine d’épices alors que le mélange traditionnel comporte plutôt entre 24 et 27 ingrédients (notamment du poivre, de la lavande, de la cannelle, du cumin, etc.). On peut en trouver dans les épiceries orientales.

Ail, c’est bien fait pour ma santé !

L'ail, c'est bien fait pour la santé !

Saviez-vous que l’ail avait une action plus que bénéfique sur le taux de cholestérol et sur l’hypertension ?

Voilà qui va ravir les consommateurs d’ail, des études ont prouvées qu’une consommation régulière permettait d’éviter significativement la formation de caillots à l’intérieur du sang. Selon ces mêmes études, une consommation de 3 grammes d’ail cru par jour (gare à la mauvaise haleine !) abaisserait le taux de cholestérol de 20% en moyenne !

Et ce n’est pas tout, l’ail est en effet également très riche en oligo-éléments et apporte à notre organisme tous les nutriments nécessaires.

Condiment incontournable dans la cuisine du sud-ouest, l’ail est un condensé de saveurs mais également un allié salutaire !